À l’ère des likes, des pitchs éclair et des événements où l’on échange parfois plus de cartes de visite que de regards sincères, une question mérite d’être posée : comment réseauter sans s’y perdre ? Et surtout, comment s’y retrouver quand on est plutôt du genre réservé, ou que l’on privilégie la qualité des relations à la quantité ?
Bien réseauter commence par bien se connaître
Avant de foncer tête baissée dans des afterworks bondés ou des salons professionnels XXL, il est essentiel de se poser une question simple mais puissante :
“De quoi ai-je vraiment besoin ?”
Certaines personnes tirent leur énergie du collectif, de l’effervescence, de l’adrénaline des grands événements. D’autres, au contraire, se nourrissent de liens plus profonds, de conversations en petit comité, de moments de silence aussi.
Se connaître, c’est savoir dans quel environnement on s’épanouit, mais aussi dans quelles circonstances nos échanges deviennent authentiques, porteurs de sens. Car réseauter ne veut pas dire “parler à tout le monde”, mais plutôt rencontrer les bonnes personnes, au bon moment, dans les bons lieux.
Le coworking doux : un terrain fertile pour les connexions vraies
Au Labo Coworking, on parle souvent de « coworking doux ». Une manière d’être et de faire qui va à l’encontre de la performance à tout prix. Ici, on valorise l’écoute, les échanges spontanés autour d’un déjeuner à l’Ekip (https://www.lelabocoworking.com/espace-coworking-nice/lekip-une-nouvelle-facon-de-collaborer) , les partages entre membres qui apprennent à se connaître sans masque ni posture.
Ne pas perdre son temps, c’est aussi respecter son rythme
Réseauter à bon escient, c’est apprendre à choisir ses occasions, plutôt que de les subir. Accepter de dire non à ce qui ne nous ressemble pas, pour pouvoir dire un vrai “oui” à ce qui résonne.
Cela signifie aussi oser prendre le temps : celui de la rencontre, de l’écoute, de la relation qui s’installe dans la durée.
En conclusion : miser sur la justesse, pas sur la frénésie
Réseauter, ce n’est pas collectionner des contacts. C’est créer des liens qui nous élèvent, nous inspirent, nous rendent plus humains. Et parfois, cela passe par un choix plus doux, plus lent, plus aligné avec qui nous sommes.
Alors, la prochaine fois que vous recevrez une invitation à un grand événement… posez-vous la question :
Est-ce que je vais m’y sentir bien ? Est-ce que j’y vais pour cocher une case ou pour nourrir quelque chose en moi ?
Et si la réponse est floue, passez donc faire un tour au Labo, lors d’un déjeuner de l’Ekip
